Παραδείγματα από το σώμα κειμένου για néphrologue
1. Le personnel médical a demandé ŕ plusieurs reprises ŕ la tutelle de mettre les moyens pour effectuer la greffe rénale au CHU de Tizi Ouzou, a déclaré un néphrologue.
2. Professeur ŕ luniversité Johns Hopkins (...) " Le Célécoxib est aussi s$';r que les autres AINS " Néphrologue, auteur de trois livres et de plusieurs études scientifiques publiées dans The Lancet, le professeur Andrew Whelton nous livre dans cet entretien les derni';res données concernant le Célécoxib, qui a fait lobjet dune réévaluation par lAgence européenne du médicament.
3. Ben Abadji, néphrologue et membre de la société algérienne de néphrologie a annoncé la prochaine commercialisation d‘un nouveau médicament générique dont le prix sera ŕ la portée de tous affirmant que "les patients qui ont subi une greffe rénale jouissent d‘une excellente santé et leur état ne nécessite qu‘un simple suivi médical". Les deux spécialistes ont rappelé que 6 millions d‘algériens présentent un risque d‘atteinte rénale dont une partie souffre de diab';te ou d‘hypertension, d‘oů la nécessité d‘un suivi médical.
4. "Les cas enregistrés au cours des derni';res années étaient l‘oeuvre de réseaux qui aidaient les patients ŕ acquérir des organes d‘Irak, de Pakistan et d‘Inde et l‘Etat, une fois informé, a mis un terme ŕ cette opération", ont–ils ajouté. "Ces réseaux activaient alors que plusieurs patients insuffisants rénaux trouvaient des difficultés ŕ se procurer un rein au niveau local ce qui a poussé plusieurs d‘entre eux ŕ recourir ŕ ces réseau pour les acheter de l‘étranger", a indiqué Tahar Riane, néphrologue et secrétaire général de la société algérienne de néphrologie.
5. Des réévaluations pour identifier déventuels risques cardio–vasculaires, gastro–intestinaux et cutanés ont été alors décidées par lAgence européenne du médicament (EMEA). LAgence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a rendu public un communiqué le 17 octobre dernier dans lequel elle signalait quŕ lissue de cette réévaluation, " lintéręt thérapeutique de ces produits nest pas remis en cause et leur balance bénéfice/risque reste positive ". Cest ce quont tenté dexpliquer, pour le célécoxib, deux experts internationaux, le cardiologue français ŕ lhôpital la Pitié–Salpętri';re, professeur Montalescot Gilles et le clinicien, néphrologue, professeur Andrew Whelton ainsi que le professeur Hachemi Djoudi, chef de service de rhumatologie EHS de Douéra, lors du symposium organisé par le laboratoire Pfizer, mercredi dernier, ŕ lhôtel Sheraton.